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En réponse à son "Poème"
J'ai cherché moi aussi aux bras des inconnues
Ce même amour... Je n'en ai tiré que des larmes...
Et j'ai cherché auprès de combien d'autres femmes
Une tendresse qui ne m'est jamais venue.
Pour un brin d'affection, pour un peu de tendresse
Comme toi, j'ai mendié ma vie plus que jamais,
Sans comprendre que c'était toi que j'attendais,
Aveuglée que j'étais, et le cœur en détresse.
C'est toi que j'attendais, te voilà revenue!
Et de nouveau s'éveille l'ardeur de ma flamme...
Et le printemps renaît, et sereine mon âme
Flotte amoureusement, et depuis, dans les nues...
Toi que j'aime, Pauline, ô divine Princesse,
Toi qui m'aimes au-delà du monde imparfait,
Nous l'avons retrouvé ton sourire et, c'est vrai,
Vois donc comment nos deux cœurs enfin sont en liesse...!
L.
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