•  

    MESSAGES IMPORTANTS

     

    VI

    (Avec l'amicale participation de Lucie Delarue-Mardrus)

     

     

    Taisez-vous plutôt que de parler de vengeance,

    Femmes, vous qui êtes assez intelligentes,

    Déposez les armes mais restez vigilantes,

    La loi du Talion n'engendre que la violence.

     

    Hommes, vous qui osez parler de parité,

    Vous risquez de passer vite du rire aux larmes

    Lorsque vous devrez vous réincarner en femmes

    Et faire face à vos propres atrocités.

     

    Femmes, hommes, qui nous voulons égalitaires,

    Tant que nous n'aurons pas des autres le respect,

    Admis la différence sous tous ses aspects,

    Le monde titubera, malgré nos prières.

     

    Vous tous qui gardez l'espoir d'un monde meilleur,

    Le soleil brillera dans un ciel sans nuage

    Dès que vous aurez trouvé, sans perdre courage,

    L'Amour qui est caché au fond de votre cœur.

     

    Lucie Delarue-Mardrus (1874 - 1945) & L.


    votre commentaire
  •  

    MESSAGES IMPORTANTS

     

    VII

    (message de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus)

     

     

    Souvenez-vous toujours lorsque le mal vous ronge

    Que c'est l'homme qui fait de la terre un enfer,

    A force de détruire, à force de mensonges.

    N'abandonnez pas, nous entendons vos prières.

     

    Pas étonnant que vous vous plaignez aujourd'hui:

    Des merveilles que vous a jadis confiées Dieu,

    Vous avez tout usé, vous avez tout détruit...

    Cessez dès à présent tout ce saccage odieux!

     

    Ouvrez, rouvrez vos cœurs à cet Amour Divin

    Qui rayonne partout, que vous avez en vous,

    Et vous retrouvez le bon et droit chemin

    Qui vous ramènera, dans la joie, jusqu'à nous.

     

    Thérèse Martin (1873 - 1897) ou L.


    votre commentaire
  •  

    MESSAGES IMPORTANTS

     

    VIII

         (message de Mère Teresa)

     

     

    Honte à vous qui osez toucher à nos enfants,

    Honte à vous qui osez briser leur innocence,

    En leur faisant subir des sévices violents.

    Je ne vous souhaite pas ces horribles souffrances.

    Demandez leur pardon et stopper maintenant.

     

    Honte à vous qui osez frapper vos propres femmes,

    Honte à vous qui leurs ont bafoué tous leurs droits.

    Demander leur pardon et pensez à votre âme

    Pleine de repentir, aux lueurs de la foi

    Qui pourra peut-être ainsi échapper aux flammes.

     

    Mère Teresa (1910 - 1997)


    votre commentaire
  •  

     

    IX

          (message des Amazones)

     

     

    Si nous sommes venues, c'est pour dire à nos sœurs

    Que l'on récolte Là ce qu'Ici fut semé,

    Que deux femmes d'Amour ont le droit de s'aimer

    Et que nous connaissons Là-Haut un grand Bonheur.

     

    Ne désespérez-pas, car elle arrive l'heure

    Où vous pourrez enfin vous aimer librement,

    Voir enfin s'exaucer votre plus doux serment

    De pouvoir épouser et son corps et son cœur.

     

    Soyez très attentive et pleine de douceur,

    Pour celle que vos yeux ont choisie par Amour,

    Respectez ses désirs, les vôtres, et chaque jour

    Couvrez-la de tendresse et couvrez-la de fleurs.

     

    Rien n'est plus beau, que voir deux Femmes âmes sœurs

    S'aimer, d'imaginer leurs tendres corps à corps,

    Et unies, quand bien même au-delà de la mort,

    L'une à l'autre, pour le meilleur et le meilleur.

     

    Dieu a ouvert à toutes la voie du Bonheur.

    Aimez-vous ô femmes, aimez-vous, tout comme elles:

    De Ruth à Noémi ou de Pauline à L,

    D'Errana de Telos à Psappha, votre sœur.


    votre commentaire
  •  

     

     

    X

    (message de Pauline M. Tarn)

     

     

    Faites que vos esprits soient remplis de lumière,

    Et de calme, et de Paix, et de Sérénité.

    Regardez! il y a encor sur cette terre,

    La Nature vous le donne, tant de beautés.

    L'Amour est la réponse à toutes vos prières.

    Dieu récompense ceux qui l'on mérité.

     

    Psappha est revenue, mes chères demoiselles,

    Pour vous aider et vous sortir de vos tourments,

    Elle est là, maintenant, et je suis auprès d'elle

    Comme elle était auprès de moi en d'autres temps.

    Nous sommes liées par un serment éternel,

    Je l'aime et elle m'aime et je suis son amant.

     

    Désolée, si cela en froisse quelques unes,

    Si Psappha n'a plus que de tendresse pour moi,

    Que je me perde dans ces yeux de Femme, brune

    Ou rousse, qui furent aveugles autrefois,

    Et si nous nous aimons tous les soirs sous la lune...

    Inévitablement..., dans l'Amour de la Foi.

     

    Pauline Mary Tarn


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique